Europe

Un conservateur italien mêlé au «Dieselgate» élu à la tête du parlement européen

Antonio Tajani, ancien proche de Berlusconi, a été élu avec les voix des trois grands groupes de droite. Son élection pourrait bousculer les rapports de force à Strasbourg.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Il a fallu attendre le quatrième tour de scrutin, mardi 17 janvier à Strasbourg, pour connaître le nom du successeur de l’Allemand Martin Schulz à la tête du parlement européen : le conservateur italien Antonio Tajani l’a emporté dans la douleur (351 voix) contre son compatriote, le social-démocrate Gianni Pittella (282 voix), tandis que 80 autres élus se sont abstenus. À un moment charnière de l’histoire de l’UE, les trois principales institutions européennes sont donc aux mains des conservateurs (avec Jean-Claude Juncker à la Commission, et Donald Tusk au Conseil).

1€ pour 15 jours

puis 12€/mois

Résiliable en 3 clics

Je m’abonne

Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal